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HISTORIQUE
HISTORIQUE
La Chorale des mouches c'est l'histoire de Ben, pousse-pousseur de son état. C'est aussi l'histoire d'Elloën-Marcy et des deux Chancelvie.
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La Chorale des mouches c'est l'histoire de Ben, pousse-pousseur de son état. C'est aussi l'histoire d'Elloën-Marcy et des deux Chancelvie.A travers ces figures et ces destins croisés, c'est la tragédie d'un pays, le Kulâh, que le narrateur nous conte avec verve. Un drame fait de sang, de désillusions, de rancœurs et de déceptions.Avec ce roman, Mukala Kadima-Nzuji, dont on connaît par ailleurs les talents de poète, de critique et d'historien de la littérature africaine, porte un témoignage vibrant d'émotion sur la décrépitude de l'Afrique laminée par les régimes autocratiques, les sectes, les groupes de prières, et la démission de ses cadres.
L’auteur Mukala Kadima-Nzuji est né à Mobaye en République démocratique du Congo. Il vit à Brazzaville où il est professeur de littérature africaine à l’université Marien Ngouabi. Il est docteur en Philosophie et Lettres de l’université de Liège (Belgique) et dirige le Centre d’études et de diffusion de la littérature congolaise (CEDILIC). Il signe avec La Chorale des mouches son premier roman.
Ces nouvelles, réunies sous le titre de Laghia de la mort, témoignent une fois de plus du très beau talent de conteur de Joseph Zobel.
Dans ce premier roman publié sous le pseudonyme d'Eza Boto, le lecteur découvrira, tracés avec une force qui s'accomplira exemplairement dans les œuvres postérieures, fort célèbres, de Mongo Béti, les drames d'une Afrique dominée, ceux qui opposent les humbles, les simples, les paysans, aux différents types d'exploiteurs du monde politique, économique et religieux.
Avec ces deux titres, dont la résonance messianique peut surprendre, Aminata Maïga KA révèle des hommes et des femmes aux destins tragiques.
La Voie du salut illustre la puissance -dérisoire- conquise par la femme moderne initiée au monde des affaires et de la politique. Mais à travers le portrait faussement naïf que la petite bonne sérère, Fatou Faye, dresse de ses maîtres opulents, les Cissé, l'auteur flétrit une certaine bourgeoisie africaine dont l'existence, théâtrale, s'épuise en cérémonies vaines et rites stériles. Dans Le Miroir de la vie, Rokhaya et Rabiatou, la mère et la fille, sont victimes de l'immobilisme des traditions et coutumes.
Leur entourage ne parait pas prêt à remettre en cause son attitude séculaire vis-à-vis des problèmes tels le mariage polygamique, la parenté élargie ou la barrière de castes. En dépit de la gravité du sujet, A. M. KA a su trouver un ton délicatement poétique. Son écriture sans aspérité recèle cependant la tension nécessaire pour souligner la progression dramatique des événements.
Une nuit, sur le lac, une femme, ses enfants et son fidèle piroguier sont entraînés par les éléments déchaînés dans les eaux où séjournent les dieux : deux monstres marins qu'ils parviennent à vaincre. Les dieux sont morts, les puissances obscures démythifiées. Le jour se lève, splendide, sur un monde qui pleure ses dieux anciens.
FORMAT POCHE
Prix Littéraire de l'Afrique Noire 1997- "Ce roman se situe successivement dans l'Afrique et la FRANCE contemporaines... L'auteur nous révèle "l'impasse" dans laquelle se trouve l'Africain, l'homme, qui, entraîné dans un tourbillon de contraintes, se doit, au risque d'être broyé, d'inventer les portes qui lui sont fermées..."
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