

Livraison partout dans le monde
Port offert en Europe à partir de 30€
Retrait gratuit à Paris
Paiement sécurisé
Deux ombres du passé ressurgissent et hantent la vie de Marcel Tchikaya, chacune à sa manière : l’une surgie du cœur de la guerre, l’autre issue d’un arbre généalogique brisé. Aujourd’hui, Marcel doit choisir son chemin, s’engager sur une voie plutôt qu’une autre. Il lui serait utile d’étudier la carte pour comprendre les marécages secrets dont ces ombres sont nées. Si leur origine commune est la naissance, c’est la perte qui les unit. Dans ce voyage, qu’il soit quête ou fuite, Marcel ignore que le plus difficile n’est pas tant de perdre quelqu’un, mais de renoncer à l’espoir de son retour et de continuer, coûte que coûte, à survivre. Portrait d’une génération, ce récit suit un jeune diplômé en lettres qui reçoit un appel l’obligeant à retourner dans son pays natal pour retrouver une mère qu’il espère encore vivante. Au fil de ce retour, ressurgissent les souvenirs d’enfance, de guerre et des livres qui ont façonné l’homme qu’il est devenu.
Jussy Kiyindou est né à Brazzaville (Congo) en 1989. Il arrive en France à onze ans et vit actuellement à Paris. Après des études de lettres et de théâtre à la Sorbonne, il poursuit son itinérance et cristallise son désir d'écrire. Il est l'auteur de Quand tombent les lumières du crépuscule... paru en 2016 aux éditions Présence Africaine (Prix du Premier Roman Sylvain Bemba 2018).
Elle a vingt-trois ans et quitte sa Bourgogne natale. Elle rejoint un ami comédien dans une capitale d'Afrique centrale pour un emploi de chanteuse de cabaret. Elle aime passionnément un médecin citoyen de ce pays, qui sera assassiné par la dictature au pouvoir. Elle rentre en France puis irrésistiblement s'en retourne vers la ville de ses amours. Elle y vit immergée et pauvre au sein du peuple qui souffre aux prises avec l'iniquité, la corruption, la violence meurtrière, dans la fraternité des combattants de la liberté. Un roman dont le langage exprime une extrême sensibilité poétique aux lieux, aux choses, aux êtres. Elle restitue ainsi une image étonnamment vraie et profonde de l'Afrique présente, vécue à travers une flamboyante et tragique aventure.
Chef de famille, chômeur, pauvre et considéré, Ibrahima Dieng reçoit un providentiel mandat de Paris ; il essaie d'en toucher le montant. D'espoir fou en amères désillusions commencent alors ses tribulations. La grande habileté de Sembène Ousmane a consisté, dans ce récit, à reconstituer un monde à partir du plus modeste des événements.
Une réédition qui permet aussi de redécouvrir la beauté d'une écriture réussissant 1'équilibre précaire entre témoignage « choc » et transparence lumineuse des paysages d'enfance.
Sabine Denoblecourt était une jeune femme blanche qu'un secret de famille avait condamnée à une haine implacable de l'homme noir. Mais un jour elle tomba éperdument amoureuse d'un jeune africain.
La présence du Christ en Afrique noire, l'ambiguïté de l'action missionnaire, le problème de l'universalité du message chrétien, ce sont là les questions graves auxquelles Mongo Béti s'affronte dans ce roman où la puissance de la vision et la création de figures romanesques inoubliables (tel le R.P. Drumont) sont à la mesure de l'exigence réaliste et de la verve critique.
Le Masque de chacal est un ouvrage dans lequel le lecteur serait tenté de voir un tableau fidèle de la vie quotidienne des quinze dernières années au Congo. Tout dans le récit semble inviter à une telle lecture ...
A l'heure où Boudiaf répondait oui à l'Algérie, deux soeurs, deux Algériennes, s'affrontent avec Paris pour témoin. Un face-à-face émouvant. Deux femmes plus que jamais unies par les liens du sang
La narratrice, Salimatou, qui finit de purger une longue peine de prison, se décide enfin à écrire à son ami d'enfance de toujours, Serge, pour lui avouer les raisons de ce long silence
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour améliorer votre expérience d'achat et pour réaliser des statistiques de visites.