Véronique Kanor à longtemps travaillé dans les médias avant de se lancer dans une démarche artistique personnelle. Avançant sur ce chemin, elle regarde les hommes-debout dans des mondes qui s'effondrent. elle fouille les terres afro-caribéennes par la photo, la vidéo, l'écriture et les performances scéniques.
A son actif, 3 courts-métrages sur l'identité antillaise (La Noiraude, C’est qui l’homme et La femme qui passe), une dizaine de documentaires radio et télé sur les résistances et 2 performances de pictdub poetry sur l’errance insulaire et sur l’histoire d’un matin qui ne voulait plus se lever.
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